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9 août 2016 2 09 /08 /août /2016 05:00

 

 

 

L'assassin royal, tome 9
Les secrets de Castelcerf

Robin HOBB

France Loisirs - 2004

472 pages

 

 

 

 

 

 

Après avoir tiré le prince Devoir des griffes des Fidèles du prince Pie et l'avoir ramené sain et sauf auprès de sa mère, au château de Castelcerf, Fitz, toujours dissimulé sous le nom de Tom Blaireau, croit avoir terminé sa mission.
Il songe à regagner sa chaumière isolée pour y reprendre l'existence tranquille de ses quinze dernières années. C'est sans compter avec la reine Kettricken et son conseiller, Umbre, qui lui demandent instamment de rester pour enseigner l'Art au prince. Il accepte finalement cette nouvelle mission. S'y ajoute bientôt la charge de surveiller la délégation d'Outre-mer qui escorte la fiancée du prince et semble poursuivre des visées secrètes.
Tandis que la guerre civile menace le royaume des Six-Duchés à cause des Fidèles du prince Pie qui demeurent dangereusement insoumis, Fitz, toujours prêt à défendre la cause du royaume, doit se démultiplier.

 
 

Merci à Naramaya et sa lecture commune.

 

A cause de mon séjour Erasmus en Allemagne, j’ai été privée de « mon » Fitz pendant cinq longs mois. Bon, c’est tout de même passé super vite, mais je dois avoir que j’ai été très heureuse de me replonger dans ses aventures. Bizarrement la « distance » m’a un peu aidée à le considérer comme un homme : jusqu’à présent, malgré ses quarante ans bien tassés, je continuais de voir le jeune adolescent amoureux de sa Molly en lui… Mais là, c’est bon, je me suis faite à l’idée et j’ai pu apprécier cette histoire à sa juste valeur.

 

Ce que j’ai adoré dans ce tome c’est qu’il m’a captivée alors qu’il ne s’y passe absolument rien : pas de grands retournements de situation, pas de voyage… Seulement la vie de tous les jours (ou presque) à Castlecerf. Mais, en fait, c’est un peu un tome de jonction qui nous renvoie à toutes les sagas de l’auteur ayant lieu dans le même monde : Les aventuriers de la mer avec Ambre et Jerk et les dragons de Les cités des anciens, peut-être même un petit peu de Le fou et l’assassin (mais pour l’affirmer, il faudrait d’abord que je me plonge dans cette série !). Du coup, avec ce tome, j’ai eu l’impression de redécouvrir toute l’étendue de la richesse de l’univers de Robin Hobb et ça, c’est assez incroyable : il y a tellement de possibilités, tellement d’interactions… tout se croise et s’entrecroise et à chaque relecture je découvre de nouvelles nuances.

J’ai beaucoup apprécié les intrigues amoureuses qui sont au cœur de ce tome : entre Devoir et la princesse Outrilienne, entre Heur et sa jolie amoureuse, entre Fitz et la sorcière…On change un peu de préoccupations pour des idées plus colorées, du coup, on oublie également un peu les vifiers et leurs histoires un peu glauques. On est dans un monde un peu moins masculin que dans les tomes précédents et j’ai beaucoup apprécié ce léger changement.

 

Le problème avec Robin Hobb, c’est que, dès que je lis un de ses romans, j’ai envie de relire l’intégrale de son œuvre là-toutdesuite-maintenant ! Je suis vraiment fan de la richesse de son univers et de son écriture toute douce, tout en nuance et en détails. Bref, compter sur moi pour lire la suite ce weekend !
Comme toujours, une belle découverte !


[les +] Réconfortant, à la croisée des mondes
[les -] ...
 
 
 
 
Les autres participants de la LC :
[Naramaya] [salhuna]
Du même auteur :
 Retour au pays
■ L'assassin Royal  tome 1 : L'apprenti assassin  tome 2 : L'assassin du roi  tome 3 : La nef du crépuscule  tome 5 : La voie magique  tome 6 : La Reine solitaire  tome 7 : Le Prophète blanc  tome 8 : La secte maudite tome 10 : Serments et deuils  tome 11 : Le dragon des glaces  tome 12 : L'homme noir tome 13 : Adieux et retrouvailles
■ Les cités des anciens  tome 1 : Dragons et serpents  tome 2 : Les eaux acides
■ Le soldat chamane  tome 7 : Danse de terreur  tome 8 : Racines
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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 06:00

 

 

 

 

 

The maze runner, T0
The kill order

James DASHNER

Chicken House - 2014

Anglais - 331 pages

 

 

 

 

 

 

Treize ans avant que Thomas entre dans le Labyrinthe, une éruption solaire a frappé la Terre. Mark et Trina ont survécu à la catastrophe. Mais cette terrible épreuve n'est rien comparée à ce qui les attend. Une étrange épidémie se répand aux États-Unis, elle frappe de folie les individus qu'elle atteint. Pire, elle met en danger jusqu'à l'existence de la race humaine !
Convaincus qu'il existe un moyen de sauver les malades, Mark et Trina sont bien décidés à le trouver... s'ils parviennent à rester en vie. Dans ce monde dévasté, certains préfèrent tuer pour que personne ne découvre la vérité.

 

 

J'ai ramené ce livre (ainsi que les trois tomes de la trilogie) de mon séjour au Pays de Galles, l'année dernière, pour mon père. En effet, j'avais vu le film au cinéma et j'avais plutôt bien accroché à l'histoire du coup, quand j'avais vu le coffret à moins de £10 chez The Works (franchement, si vous allez au RU, passez par ce magasin : c'est une petite merveille niveau bouquin et papeterie à bas prix !), je l'avais pris sans hésitation.

Bon, après c'est en anglais et du coup, il m'a fallu attendre que Maysis lance sa lecture commune sur Livraddict pour que je trouve une certaine motivation et me décide à ouvrir le préquel !

 

Sauf que... je n'ai pas été emballée par cette histoire. Peut-être que c'est du à la barrière de la langue ou au fait que je n'ai pas lu les tomes précédents,mais j'ai trouvé l'histoire assez plate et lisse. Ok, il y a du sang, ok, les gens meurent... mais c'est tellement prévisible ! Le truc, c'est que ça reste superficiel et que je n'ai pas eu l'impression d'apprendre réellement quelque chose dans ce roman. Je l'ai ressenti plus comme une description lointaine d'un évènement que comme une piste de réflexion.

Après, l'histoire est tout de même sympa' et plutôt bien racontée : il y a du rythme, on se pose des questions (et on y trouve des réponses)  et il y a peu de temps morts. C'est dynamique, moderne et axé plutôt jeunesse. Franchement, on ne s'ennuie pas en lisant The kill order mais, personnellement, je n'ai pas été transportée et James Dashner ne m'a pas donné envie de croire à son histoire.

 

Le deuxième point qui a fait que je n'ai pas accroché à cette histoire, ce sont les personnages que j'ai également trouvé fades et stéréotypés. En fait, comme pour l'histoire en général, ils sont assez superficiels et l'on ne connait pas leurs motivations profondes. Ils sont suffisament classiques pour que n'importe qui se reconnaisse en eux mais il m'a manqué cette saveur particulière pour que je les apprécie réellement.

 

Du coup, je dois dire que ma motivation pour les lire avant de partir en Allemagne (J-15) est retombée un peu comme un soufflé... Mais bon, je ne perds par espoir d'au moins lire le premier tome ! ;)

Un préquel assez décevant.

 

 

[les +] Pur produit YA, histoire sympathique.
[les -] Cliché, stéréotypé, superficiel.

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4 février 2016 4 04 /02 /février /2016 06:00

 

 

 

 

 

L'assassin royal, tome 8

La secte maudite

Robin HOBB

France Loisirs - 2005

448 pages

 

 

 

 

 

 

C'est une rude mission que Fitz, sous le nom de Tom Blaireau, accepte de la reine Kettricken : ayant endossé l'habit d'un valet, il doit ramener à Castelcerf le prince héritier, disparu vers des contrées lointaines dans de mystérieuses conditions.
S'il retrouve facilement la trace du fugitif, grâce au lien magique qui l'unit à son loup, sa tâche n'est pourtant pas aisée, car le prince a été envoûté par une secte qui poursuit de sombres visées sur le royaume à travers leur otage. Placé sous l'influence mentale d'un animal étrange, l'adolescent a perdu le contrôle de ses pensées et obéit aveuglément à ses ravisseurs. Comment Fitz va-t-il parvenir à désensorceler celui qu'il considère comme son fils ? Peut-il compter sur le fou qui voyage avec lui, déguisé sous la vêture d'un riche seigneur ? Et son vieux loup, qui arrive exténué au terme de sa vie, aura-t-il assez de forces pour le seconder ? Une nouvelle fois, Fitz doit affronter sa douloureuse condition de bâtard et servir jusqu'au péril de sa vie ces princes auxquels l'attachent les liens du sang.
Rien ne lui sera épargné des tortures et des humiliations, y compris de la part de ceux qu'il pourrait croire ses amis. Et, plus que jamais, le repos, auquel il aspire et que son âge devrait lui permettre, lui reste interdit.


 

Ça faisait longtemps que je n’avais pas lu du Robin Hobb, au moins… deux mois ! Merci donc à Naramaya et sa lecture commune et à sa lecture commune qui me permet de me replonger régulièrement dans les aventures de Fitz.

 

Comme je le disais dans mes chroniques précédentes, je suis désormais rendue dans les tomes que je n’ai du lire qu’une seule fois (contrairement aux premiers !) et que, donc, je ne me souviens plus trop de l’histoire… Qu’est-ce que c’est agréable de redécouvrir une histoire comme si c’était la première fois !

Ce huitième tome m’a beaucoup plu : j’ai beaucoup aimé cette idée d’une secte autour de la magie du vif et le complot qui en découle pour prendre le trône. Bon, ce n’est pas du GOT, c’est beaucoup moins sanglant, mais ça n’en est pas moins élaboré et très convaincant !

J’ai également aimé toutes les questions qui restent en suspend autour de Fitz et de sa paternité. C’est vrai qu’à le cotoyer, on oublie assez cet aspect de sa personnalité : personnellement, j’ai un peu de mal à me faire à l’idée qu’il a dorénavant 40 ans… Pour moi, je crois qu’il restera à jamais le gamin un peu maladroit qu’il était à 17 ans !

Et puis, il faut aussi dire que ce tome est riche en émotion. Personnellement, je crois que je n’ai toujours pas réellement réalisé ce qu’il se passe dans celui-ci et que ce n’est que maintenant que j’en prend conscience (au moins quatre jours après ma lecture !). Bref, c’est vraiment triste et je suis curieuse de découvrir comment va s’en sortir Fitz dans le tome suivant…

 

Comme d’habitude, j’ai vraiment apprécié mon aventure dans l’univers de Robin Hobb. Cette dame est vraiment talentueuse ! J’adore la façon dont elle nous entraine dans des aventures folles, à travers des mondes bien construits, tout en douceur (sans pour autant manquer de poigne). Et j’aime encore plus me rendre compte par moment pendant ma lecture, grâce à des petits détails bien placés, que c’est une femme qui nous raconte une histoire que l’on pourrait penser écrite par un homme.

 
 

[les +] Une histoire bien construite, avec des thématiques intéressantes, une écriture au top.

[les -] Pourquoi ODN, hein, pourquoi ?!

 
 
 
 
Les autres participants de la LC :
[Thadea]
Du même auteur :
Retour au pays
L'assassin Royal tome 1 : L'apprenti assassin tome 2 : L'assassin du roi tome 3 : La nef du crépuscule tome 4 : Le poison de la vengeance tome 5 : La voie magique tome 6 : La Reine solitaire tome 7 : Le Prophète blanc  tome 9 : Les secrets de Castelcerf   tome 10 : Serments et deuils   tome 11 : Le dragon des glaces tome 12 : L'homme noir   tome 13 : Adieux et retrouvailles
Les cités des anciens tome 1 : Dragons et serpents tome 2 : Les eaux acides
Le soldat chamane tome 7 : Danse de terreur tome 8 : Racines
 
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27 décembre 2015 7 27 /12 /décembre /2015 06:00

 

 

 

 

La fille du loup

Barbara WOOD

France Loisirs - 2013

511 pages

 

 

 

 

 

 

Rome, 54 après J-C, sous le règne de Néron. Depuis son enfance, Ulrika, jeune fille de dix-neuf ans, a des hallucinations et des prémonitions. Une nuit, elle fait un rêve étrange où lui apparaît un loup. Elle l’interprète comme un présage, « Wulf » étant le prénom que portait son père, mort lorsqu’elle n’était encore qu’un enfant, c’est du moins ce que lui a dit Sélène, sa mère.
Un soir, lors d’un dîner officiel, elle rencontre le commandant Gaius Vatinus, un valeureux guerrier amené à diriger l’armée romaine contre les Germains. Si Ulrika apprécie la compagnie de cet homme, ce n’est pas le cas de sa mère qui la met en garde car, il serait responsable de l’arrestation de Wulf et du pillage de leur village. Sélène révèle enfin la vérité à Ulrika : son père est toujours vivant et a fondé une famille en Germanie, tout en ignorant qu’à Rome il avait une fille. Ulrika décide alors d’entreprendre un long voyage en terres barbares afin de retrouver son père…

 

 

Franchement, j'ai rarement été autant à la bourre pour rédiger une chronique : 20 jours pile poil. Le pire, c'est que je l'avais lu à temps pour la lecture commune que j'avais organisée. Bref, je suis désolée pour mes compagnes d'infortune : les cours, Noël... on sait tous à quel point ça peut rapidement devenir prenant.

 

En tout cas, j'ai réellement passé un excellent moment avec ce roman, comme toujours avec Barbara Wood cela dit. J'ai particulièrement apprécié ce long voyage compté par Ulrika mais également Sebastianus ou ses compagnons de voyage. Encore une fois, le décor historique m'a beaucoup plu : c'est rare que le lise des livres se passant durant l'antiquité mais celui-ci est passé nickel : je trouve assez impressionnant le changement culturel que l'on ressent en passant les différentes frontières tout au long de ce roman.

J'ai également apprécié le rapport à la maladie, notamment à travers Nestor. Certaines situations prêteraient à sourire mais elles restent graves surtout à cette époque.

Enfin, je trouve les rapports amoureux absolument formidables dans les livres de Barbara Wood et celui-ci ne fait pas défaut : j'aime beaucoup la façon dont ses personnages parviennent toujours à se retrouver sans que leurs sentiments soient entachés des dizaines d'années plus tard. Ça fait rêver vu le monde dans lequel nous vivons aujourd'hui !

 

Le personnage d'Ulrika m'a beaucoup plu : sa douceur et sa gentillesse sont vraiment extraordinaires et j'ai réellement apprécié sa simplicité et son empathie envers les personnes qu'elle rencontre durant son voyage. Et puis, il est vrai que j'ai un peu jalousé ses talents de guérisseuse aussi.

Sebastianus m'a également plu même si il est un peu la potiche de l'histoire : beau, grand, fort et inconditionnellement amoureux d'Ulrika, il ne sert pas à grand chose dans cette histoire si ce n'est le fait de nous faire rêver toujours un peu plus.

La relation de Timonidès (le père) et de Nestor (son fils) m'a également beaucoup touchée : l'amour qu'ils éprouvent l'un pour l'autre est vraiment touchant tout comme les montagnes qu'ils sont prêts à déplacer... Au vu du contexte historique, je les ai trouvé réellement touchants.

 

Comme d'habitude, je me suis vraiment laissée portée par les mots de Barbara Wood : j'apprécie les décors historiques toujours un peu surnaturel qu'elle arrive à nous créer... Ses mots sont fluides, simples et imagés ce qui permet à tous le monde d'apprécié ses histoires même les plus jeunes lecteurs (prompts à se lancer dans un petit pavé !).

Un roman historique que je vous conseille.

 

 

[les +] Un décor historiques très présents, du surnaturel en touche légère, une écriture universelle.

[les -] Un Sebastianus un peu potiche.

 

 

Lu dans le cadre :

 
 
Du même auteur :
La femme aux mille secrets La femme du bout du monde La pierre sacrée La terre sacrée Les battements du coeur Les fleurs de l'Orient
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8 décembre 2015 2 08 /12 /décembre /2015 06:00

 

 

 

 

 

De l'eau pour les éléphants

Sara GRUEN

World Book Night - 2015

418 pages

 

 

 

 

 

 

Durant la Grande Dépression, dans les années 1930, les trains des petits cirques ambulants sillonnent les États-Unis. Jacob Jankowski, orphelin sans le sou, saute à bord de celui des frères Benzini et de leur " plus grand spectacle du monde ". Embauché comme soigneur, il va découvrir l'envers sordide du décor. Tous, hommes et bêtes, sont pareillement exploités, maltraités.

Sara Gruen fait revivre avec un incroyable talent cet univers de paillettes et de misère qui unit Jacob, Marlène la belle écuyère, et Rosie, l'éléphante que nul jusqu'alors n'a pu dresser, dans un improbable trio.

 

 

L'idéal aurait été que j'écrive cette chronique en anglais, mais bon, voilà :

1. On est lundi matin, il est 8H et j'ai la flemme,

2. J'ai lu ce livre dans le cadre d'un challenge,

3. Du coup, j'en ai fait une lecture commune.

Je pourrais trouver des milliers d'autres excuses, mais bon, je crois que l'on gardera la première ;)

En fait, ce livre est vraiment arriver par hasard dans ma PAL : quand j'étais au Pays de Galles, je suis tombée dessus au moment de la World Book Night (en gros, il y avait un carton rempli d'exemplaires de ce roman gratuit), autant dire que je ne pouvais que le prendre, surtout que j'avais envie de le lire depuis un bon moment. Et puis, comme ça, j'allais enfin peut-être me mettre à lire en anglais.

Pour le coup, c'est plutôt une mission réussi : déjà grâce au challenge de Phildes autour des animaux, mais surtout parce que le second round du TOEIC était jeudi dernier (si vous pouviez croiser les doigts pendant les 8 prochains jours ouvrés, ce serait très gentil ! :D).

 

Bref, tout ça pour dire que j'ai lu Water for elephant en anglais et que j'ai beaucoup aimé ce livre même si je n'ai pas tout compris. Le truc, quand je lis, c'est que je me mets régulièrement à lire en diagonale quand je me laisse emporter par mes rêveries et qu'en anglais, ça ne passe pas trop !

Cela dit, j'ai beaucoup aimé l'ambiance un peu vintage de l'histoire avec ses jolis costumes et ses coutumes d'un autre temps. Mais, ce que j'ai préféré, ce sont les moments à la maison de retraite avec Jacob qui m'ont beaucoup, beaucoup fait rire (et ma appris pas mal de vocabulaire du coup) ! J'ai aimé ces vieilles dames impressionnables et rapporteuses et les petites disputes entre les pensionnaires : l'ambiance est bonne, familiale et Rosemary est un ange :)

 

Les personnages m'ont plutôt bien plu même si je ne me suis pas particulièrement sentie proche d'eux. Jacob m'a fait un meilleur effet âgé que jeune, même si il est plus râleur et grincheux (il ne faut pas chercher, j'ai un truc avec les personnes âgées).

Marlena m'a également touchée : j'ai beaucoup aimé son côté fragile qui contrebalance sa fierté et la force qu'elle impose avec ses chevaux. Elle s'intéresse aux gens qui l'entoure malgré son statut de "star", ce qui m'a beaucoup plu.

Cela dit, ma chouchoute dans l'histoire, c'est tout de même Rosie. Cet éléphante à drôlement la classe !

 

L'écriture de Sara Gruen m'a bien plu : comme je le disais tout à l'heure, c'était le premier livre que je lisais en anglais et j'ai choisi la difficulté avec une histoire que je ne connaissais pas, du coup, il me manque certains détails... Mais j'ai trouvé son style très clair et plutôt imagé : l'ambiance est forte, les tensions sont présentes. J'ai vraiment passé un bon moment ! Par contre, je ne sais pas si je prendrais la peine de le lire en français : je pense que ça me ferait bizarre la traduction du coup...

Un livre que je vous conseille !

 

 

[les +] Des émotions fortes, une Rosie au poil, de l'humour.

[les -] Quelques détails non-compris (barrière de la langue).

 

 

Lu dans le cadre :

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Bienvenue & Bonne visite !

 

Lunazione : n.f. (italien)
Intervalle de temps entre deux retours consécutifs de la lune à la même phase.
Soit 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 2.8 secondes.



Tous les textes et chroniques publiés sont écrits par moi-même sauf indications contraires.
Merci de me prévenir et de mettre un lien vers mon blog si jamais vous souhaitez utiliser l'un de mes textes, même court.



Merci d'être passé, de m'avoir lu et pour vos petits messages ♥
Bonne visite !

Luna.

 

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