10 février 2011
4
10
/02
/février
/2011
13:36
Gina est censée est morte dans un accident de voiture, mais voilà qu'elle se réveille dans un cimetière, et c'est Bobby le beau gosse du lycée qui la ramenée à la vie.
Quoi de plus normal ? Bobby est un Vampire : mignon, attentionné, intelligent et capable de lire dans les pensées !
Tous les deux doivent faire face à un autre clan de Vampire, celui de Mellisande. Elle désire accomplir une ancienne prophétie qui ferais triompher le mal sur la Terre... La voici, partie défendre les humains en botte a talon et mini-jupe !
Bon, personnellement, le livre est drôle, mais ne casse pas quatre pattes à un canard ! Lucienne Diver étant éditrice, l'amalgame est difficile à évité... Le livre, nous laisse un condensé des succès du genre dans la tête, sympa comme premier livre vampirique, mais pour les adepte du genre, je ne suis pas convaincue...
Mais cela reste un avis personnel !
Les personnages ne sont pas particulièrement exceptionnels, pas vraiment crédible. je n'ai jamais rencontré des personnes comme ça et je ne suis pas persuadée qu'elles puissent existent. Ce sont des stéréotypes de gamins riches et populaires que tout le monde aime et envie. Remarque, si ils existeraient je n'aimerais pas être à leur place.
L'histoire ne m'a pas fait rêver, c'est quand même un comble ! Quand on lit, c'est pour se dérider l'esprit, être ailleurs quelques heures, et là, j'étais vraiment contente quand j'ai vu que j'arrivais au dernier chapitre. Au final, je n'ai pas retenu grand chose de l'histoire, ce qui est dommage. Je ne lui ai pas trouvé d'intérêt particulier.
L'histoire est fade et peu crédible, les personnages pas vraiment attachants ou attrayants. J'ai vraiment été déçue par cette lecture.
Cependant je ne condamne pas la série, peut-être que les nouveaux tomes seront beaucoup plus sympa à lire... En tout cas, je l'espère !
Published by Luna
-
dans
Nights & Books
9 février 2011
3
09
/02
/février
/2011
13:36
Sarah est une petite fille juive de 10 ans. Cette nuit là, elle entends la police française frapper à la porte de son appartement. Quand sa Maman leur ouvre, ils leur demande de préparer leur affaires et de les suivre. Sarah à juste le temps d'enfermer à clef Michel, son petit frère de 4ans dans un placard - leur cachette secrète. C'est qu'une fois rendue dans le stade qu'elle comprend qu'elle ne pourra jamais aller chercher Michel.
Cette nuit était celle du 16 février 1942, celle du Vel' d'hiv'.
60 ans plus tard.
Julia, une journaliste américaine, mariée à un Parisien, doit faire un article sur le Vel d'Hiv' pour son journal. Elle découvre avec stupeur le lien qui l'unit à la petite Sarah et part sur ses traces.
Ce livre m'a véritablement percuté de plein fouet.
Le style de Tatiana De Rosnay est efficace, précis, sérieux et nous emprisonne le temps de lire son livre : on ne peut le quitter des yeux. L'histoire est très émouvante, et nous ramène 60 ans en arrière, vers l'impensable. Le livre reste accessible à tous, malgré sa précision dans les faits et l'époque sanglante : on ne peut que l'apprécier. Il met en avant, le Vel' d'Hiv' que très peu connaisse : Elle s'appelait Sarah en deviendrait presque un documentaire...
Les différents personnages sont vraiment tous très attachants, très humains et crédibles. On se projette véritablement dans l'histoire. Lire ce livre nous offre à un véritable raz de marrée des sentiments, on ne peut y échapper si on lit réellement ce livre. L'histoire est bouleversante, car très bien écrite, mais cela est surtout du aux personnages auquel on s'identifie sans aucun mal. On pourrait totalement faire parti de cette histoire.
Elle s'appelait Sarah nous expose, à la fin de la lecture, à de nombreuses questions et réflexions. C'est un livre coup de poing.
Cependant les aller-retour, à chaque chapitre, entre le présent et le passé m'ont quelque peu dérangé. La fin se laisse deviner, mais de façon imprécise, ce qui reste agréable et laisse une grande part de surprise.
Elle s'appelait Sarah est un très bon livre dont il serait dommage de passer à côté.
Du même auteur :
♦ Rose
Published by Luna
-
dans
Nights & Books
8 février 2011
2
08
/02
/février
/2011
12:12
1890.
Anna, fille d'un producteur d'amandes, et Martin, fils d'un industriel, sont fous amoureux l'un de l'autre. Mais, Martin épouse Mathilde peu de temps après, sans prévenir Anna, qui se sent trahie et fini par se jeter dans les bras d'Armand, le fil du pâtissier.
La vie suivant son cours, Anna et Armand ouvrent une boutique de nougat qui devient vite la renommée du village et de la région. Ils ont deux enfants, cependant Anna ne parvient toujours pas à oublier son Martin...
Ce livre parle de sujets très variés et différent : les mère-filles, l'abandon des enfants, les mutilés de la première guerre mondiale, l'amour éternel, le mensonge, la résistance contre l'armée Hitlérienne...
Françoise Bourdon nous offre une histoire passionnante et tumultueuse. Son style d'écriture est très dynamique, ce qui permet de ne pas perdre le fil entre les nombreux personnages. Ceux-ci, grâce à leur grand nombre, permettent une meilleure identification du lecteur au livre : on se retrouve forcément dans un des personnages, et il en va de même pour notre entourage qui nous apparaissent également dans cette histoire.
L'auteur nous fait passer par toutes les émotions, du rire aux larmes, de la joie à la déception...
Les changements de personnages seront peut-être dérangeant pour certains, mais ils restent essentiels à l'histoire.
C'est une histoire qui peut parfois être un peu choquante, parce qu'elle est terriblement crédible. Elle est régionale, de chez nous, en France. C'est peut-être ça le pire, se dire que ça aurait pu arriver à n'importe qui, à des personnes qu'on connaît, qu'on aurait pu connaître, à des gens de notre famille. On se projette vraiment dans La Nuit de l'Amandier et c'est ça qui fait de cette histoire un livre coup de poing. On se rend compte de se qui aurait pu se passer, de se qui s'est passé. On se ré-approprie notre Histoire et pas n'importe laquelle, ce n'est pas la plus heureuse...
La nuit de l'Amandier pourrait presque être un livre polémique : les sujets choisis ne sont pas des plus faciles, mais ils sont abordés avec une grande sagesse, du calme et beaucoup de douceur... Certains préjugés seront, ainsi, sans doute abolit chez certains.
La nuit de l'Amandier détient une belle promesse.
Du même auteur :
♦ La combe aux oliviers ♦ Le mas des Tilleuls
Published by Luna
-
dans
Nights & Books
7 février 2011
1
07
/02
/février
/2011
16:00
Dans une forêt allemande, un couple amoureux retrouve le corps saccagé d'une jeune femme accroché à un arbre...
Leona sortait de chez le dentiste, quand une femme se jeta par la fenêtre de son appartement et s'écrasa à ses pieds. A ce moment là, elle se retrouve projeté dans le monde d'Eva, la jeune suicidée : Lydia, sa voisine solitaire, Bernhard, son ex-mari qui la trompait avec ses étudiantes et Robert, son frère.
Quand elle apprend que son mari la trompe et qu'il veut se séparer d'elle, Leona se réfugie dans les bras de Robert. Mais au fil que le temps passe, celui-ci se montre de plus en plus jaloux et Leona commence a se sentir en danger avec lui...
Après sa rupture avec Robert, les coïncidences morbides sont de plus en plus présentes. Robert y serait-il pour quelque chose ?
Dans Le soupirant, Charlotte Link, comme à son habitude, mêle suspense et histoire de cœur. Et tant mieux, car elle le fait très bien. Son personnage central est très touchant, et sans doute n'importe qui, surtout une femme, peut s'identifier à Leona. La plupart des personnages ne sont pas très complexes, facile à comprendre et à cerner, malgré quelques fausses pistes semées par l'auteur.
Les actions s'enchainent à un bon rythme, ni trop rapide, ni trop lent, ce qui nous permet de bien poser le décor et d'imaginer la suite.
Cependant, l'identité du meurtrier se devine aisément, mais la fin va à l'encontre de tout ce qu'on pourrait imaginer bien que nos espérances soient réalisées.
C'est une histoire vraiment extrême, comme dans tout les livres policiers. On y croit mais sans le vouloir tellement ce qui se passe est peu enviable. On a vraiment peur pour Leona et fatalement, on se met à sa place. Bon, on ne se focalise pas non plus sur toutes les nouvelles rencontres masculines qu'on fait après cette lecture, mais une fois la lecture finie, la nuit qui suit, on rêve quand même du livre.
C'est une très bonne lecture. On passe vraiment un très bon moment avec ce livre entre les mains. C'est un vrai plaisir de le lire.
Ce livre est très agréable et très bien écrit. Il mérite d'être lu !
Du même auteur :
♦ Illusions mortelles ♦ L'enfant de personne ♦ Le péché des anges ♦ Les trois vies de Margareta ♦ Une femme surveillée
6 février 2011
7
06
/02
/février
/2011
09:26
Claire est une jeune femme dynamique et débrouillarde dans son travail, de plus elle est d'un grand soutient moral pour son amie Lorna qui passe par tous les sentiments...
Jusqu'au jour ou elle apprend que sa tante Mary, qu'elle n'a vu qu'une seule fois, toute petite, lui a légué, à sa mort, le charmant Paradize cottage. Pas si charmant que ça en fait, plutôt en ruine...
Elle se lance alors dans la rénovation de celui-ci avec l'aide du beau Aidan, son voisin.
" Ah oui ? alors si vous en êtes si sûre, prouvez-le-moi. Prouvez-moi que vous pouvez rénover ce cottage. Il fouilla dans sa poche arrière, puis plaqua un billet sur le bar. Cinquante livres que vous échouerez ! "
Peinture Fraîche, zoë BARNES
Personnellement, j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire : le début va trop vite à mon goût. J'ai mis du temps à comprendre qui était qui, qui habitait avec qui, leur métier, leur relation entre eux...
Il fait parti des livres que je sais d'avance que je ne relirais sans doute pas. L'histoire ne m'a pas passionnée et malheureusement il était vraiment très épais (ce qui est toujours un détail qui compte dans ces cas là...). Je ne me suis reconnue dans aucun des personnages : ils sont sans réelle substance, pas vraiment crédible, ni équilibré d'ailleurs. Ca m'étonnerait réellement qu'ils puissent exister. (et si s'était le cas, je pense que je les fuierais...)
Je n'ai pas cru à l'histoire et c'est bien dommage car elle est bien écrite. Il manquait un petit quelque chose pour faire que ça passe, mais bon... (ou supprimer des passages quasiment inutiles comme des descriptions...)
Cependant, dès le début, ce livre m'a fait rire. L'écriture de Zoë Barnes est très décalée et agréable à lire. Elle manie à la perfection les intrigues amoureuses, les rendant vraiment crédibles. Cela étant dit, on devine facilement la fin, ce qui peut être dommage.
Peinture Fraiche est un livre sympa, bon enfant, mais un peu facile.
Published by Luna
-
dans
Nights & Books