Meena Harper travaille désormais pour la filiale new-yorkaise de la Garde palatine, l'unité secrète du Vatican chassant les vampires. Et sa capacité à prédire la mort des gens s'y révèle on ne peut plus utile. D'autant que depuis son aventure avec Lucien Antonescu, le prince des ténèbres, Meena a renoncé pour de bon aux vampires… Enfin, jusqu'au jour où elle se met en tête de démontrer que ces créatures, bien que dénuées d'âme, sont capables d'aimer. Elle sait que convaincre la Garde et son partenaire Alaric Wulf ne sera facile, surtout quand une nouvelle menace met en danger non seulement la Garde mais aussi sa famille et ses amis. Le père Henrique, surnommé Padre Caliente, le plus jeune et séduisant prêtre de New York, est également sur l’affaire, mais Meena et Alaric ne lui font pas confiance. Alors que Meena s’approche de la vérité, sa loyauté est mise à l’épreuve, ses sentiments sont dévoilés et elle doit affronter d’irrésistibles tentations. Cette fois Meena pourrait bien avoir été trop ambitieuse...

Le premier tome m'avait réconciliée avec le premier et Overbit suit le même chemin.

J'aime l'humour satirique de Meg Cabot, un peu moqueur de ces "pauvres" vampires et ses "merdalors" qui concluent avec un ton très juste quelque uns de ces chapitres. Dans un livre de Meg Cabot, je me sens toujours à ma place et ce n'est pas ce livre qui en sera l'exeption !

J'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir Meena et son frère Jon. Un peu moins Lucien et Alaric mais bon... Meena est telle qu'on l'avait laissée : drôle, indépendante et avec ce je-ne-sais-quoi qui fait que l'on s'identifie forcément à elle. Lucien reste Lucien et Alaric est toujours aussi maladroit et ronchon (mais bon, ça ne l'empêche pas d'être sympathique).

J'ai bien aimé l'histoire de ce second tome avec l'arrivée des vampires Lamis qui ma fois, ne sont pas franchement sympathique. J'ai beaucoup aimé être directement plongée au coeur de l'action et retrouver les éléments de l'histoire que j'avais autant appréciés dans le premier tome d'Insatiable.

Etonnament, ce qu'il me plait d'autant plus dans ce tome, c'est que la fin est une vraie fin : sans suspense, sans promesse d'un autre tome et j'adore ça ! C'est bien tout sauf une fin commerciale.

Si il y a une série qui peut vous réconcillier avec les vampires, je crois bien que c'est celle-ci !

Du même auteur :

♦ Le garçon d'honneur/Mariage (en douce) en Italie ♦ Nuits d'Enfer au Paradis

■ Abandon ♦ tome 1 : Abandon

■ Blonde ♦ tome 1

■ Insatiable ♦ tome 1 : Insatiable

■ Journal d'une princesse ♦ tome 1 : La grande nouvelle ♦ tome 2 : Premiers pas d'une princesse ♦ bonus : Le roman d'une princesse

■ Missing ♦ tome 5 : Retrouvailles

■ Mediator ♦ tome 5 : Attraction fatale

■ Le carnet d'Allie (Allie Punchie) ♦ tome 1 : Le déménagement ♦ tome 9 : Demoiselle d'Honneur

■ Samantha ♦  tome 1 : Samantha, 15 ans, héroïne d'un jour ♦ tome 2 : Samantha dans tous ses états

■ Une (irrésistible) envie... ♦ tome 1 : Une (irrésistible) envie de sucré ♦ tome 2 : Une (irrésistible) envie d'aimer ♦ tome 3 : Une (irrésistible) envie de dire oui

"Il était d'un naturel féroce et sanguinaire qui se trahissait dans les moindres choses comme dans les grandes... Dans tous les combats de gladiateurs donnés par lui ou quelqu'un d'autre, il faisait égorger même ceux qui tombaient par hazard pour observer leur visage quand ils expiraient."

Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre en ouvrant cette BD et ma surprise à été grande quand j'ai ouvers la première page pour tomber sur un combat de gladiateur... Bizarrement, je crois que je m'attendais à de la fantasy : après tout Murena ça sonne un peu comme La malerune. Après c'est vrai aussi que ça sonne surtout latin !

En tout cas, je comprends aisément sa place dans le Baby-challenge BD 2012 de Livraddict : c'est vraiment une très jolie découverte ! J'ai vraiment hâte de pouvoir me plonger dans sa suite.

J'ai beaucoup aimé redécouvrir Aggripine : on en avait parlé au collège en cours de latin et la détermination de ce petit bout de femme m'avait totalement scotchée. Sans compter que visiblement elle était plutôt du genre coriace (je ne me souviens plus du tout, par contre, comment Néron à réussit à la tuer... Remarque elle est peut-être morte de vieillesse !). Cela dit, Aggripine n'est qu'un personnage secondaire dans ce tome même si ça ne m'étonnerait pas qu'elle prenne de l'importance avec les tomes suivants.

Ça m'a beaucoup plus de découvrir Brittanicus et Néron jeune ainsi que César a un visage plus humain que ce qu'on a l'habitude de voir dans la plupart des histoires...

J'ai bien aimé la qualité des dessins et des dialogues : ils sont très précis et colorés, ainsi que facile à comprendre. J'aime beaucoup ça !

J'ai hâte de me plonger dans sa suite :)

S'il est une chose que j'aimerais savoir, c'est pourquoi ma mère m'a nommée " Enola ".
Enola qui, à l'envers, se lit : alone. En anglais : seule. Et c'est bel et bien seule que je me suis retrouvée le jour de mes quatorze ans, ma mère ayant disparu de notre manoir de façon inexpliquée. J'ai alors été contrainte d'en informer mes frères aînés que je n'avais pas revus depuis dix ans - Mycroft et Sherlock Holmes. Or ce n'était pas eux qui allaient m'être d'un grand secours. Jugeant que mon éducation laissait à désirer, Mycroft n'avait qu'une idée : m'expédier en pension pour faire de moi une lady.
En outre, Sherlock estimait ma capacité crânienne bien trop limitée pour pouvoir résoudre le mystère de cette disparition. J'étais pourtant la seule à avoir décelé des indices dont mon détective de frère n'avait pas la moindre idée. C'est donc le coeur empli d'espoir, que j'ai décidé, malgré mes appréhensions, de partir à la recherche de ma mère. Seule.

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec ce livre. Surtout qu'à la base, je suis loin d'être une fan des aventures de Sherlock Holmes, alors bon, suivre les enquêtes de la petite soeur ne m'enchantait pas plus que ça... Honnêtement sans le Baby-challenge Polar 2012 de Livraddict, je ne me serais pas plongée dedans : et j'aurais raté une jolie histoire !

J'ai bien aimé le personnage d'Enola : elle a tout de la jeune fille moderne à la quête de liberté bien propre à notre époque, mais coincée un siècle plus tôt dans la bienséance. J'ai beaucoup aimé son caractère futé et intrépide. A l'image de son nom, elle est solitaire mais c'est typiquement le genre de personne sur qui l'on peut compter.

Nancy Spinger a réussit à rendre à mes yeux le personnage de Sherlock sympathique. Et ça c'est un sacré exploit ! Je l'ai toujours trouvé rêche et coincé, mais là, le fait de le voir par d'autres yeux m'aura permit de découvrir un côté de l'homme que je n'avais jamais vu dans les romans d'Arthur Conan Doyle. C'est plutôt un très bon point !

Par contre, et c'est là mon seul bémol à La double disparition : j'ai trouvé l'histoire un peu trop facile à mon goût. Bon c'est vrai que c'est un policier qui s'adresse à la jeunesse et que j'en ai lu que très peu... Mais là, la résolution des différentes intrigue m'a emblée un peu trop rapide et peu expliquée. Dommage !

En tout cas, je lirais la suite, c'est certain :)

"L'Insoutenable légèreté de l'être" traite de plusieurs thèmes, et place, au centre de tout, des personnages purement fictifs incarnant de grandes idées. Parmi eux, Tomas se cherche sous son double masque de libertin et d'amoureux passionné, alors que Tereza, la plus morale du livre, brigue l'amour pur, et que Sabina incarne la légèreté.

J'avoue : j'ai lu attentivement le début et j'ai lu attentivement la fin. Par contre j'ai baclé le milieu.

L'insoutenable légèreté de l'être à surtout été d'une insoutenable longueur pour moi. Et je dis bien pour moi : contrairement à beaucoup je n'ai pas réussit à apprécier les mots de Milan Kundera (par contre malgré ma déception pour ce livre, j'aime toujours autant la sonorité de son nom !).

Le titre me plaisait beaucoup et je m'attendais vraiment à tomber sous le charme de cet auteur dont je n'avais jamais entendu parler jusqu'à présent : je m'attendais à lire quelque chose de léger et de doux, un poil "romantique" mais pas trop et d'un peu philosophique... Comme de la poésie en fait. Sauf que pour le coup ça a capoté. Milan Kundera écrit très bien mais je n'ai pas accroché à son style : je trouve qu'il prend trop son temps pour nous révéler les choses...

Et puis, je n'ai pas accroché à ces personnages : Thomas ne m'a a aucun moment été sympathique. Je l'ai trouvé trop sur de lui, trop arrogant. Et pas franchement respecteux de Tereza : c'est sont épouse dévouée et pourtant il la trompe sans complexe. Il ne la mérite pas. Quand a Tereza je l'ai trouvé trop effacée et fade : pourtant je suis certaine qu'elle a du caractère mais je regrette de ne pas avoir vu ce côté là dans le texte. Je ne sais pas si ça vient de moi ou des mots de l'auteur, mais je trouve qu'elle fait trop "victime".

Cela dit j'ai beaucoup apprécié le cadre historique de l'histoire.

Je ne suis pas dégoutée mais déçue : j'ai vraiment l'impression d'être passée à côté de quelque chose de formidable (surtout qu'il fait parti du Baby-challenge Littérature contemporaine 2012 de Livraddict !).

Je suis quasiment sûre que je relirais L'insoutenable légèreté de l'être dans quelques années. Je crois que c'est le genre de livre je j'apprécierais d'autant plus en murissant encore un peu...

Vue de la terre, la lune, par sa rondeur et sa bonhomie incite à toutes les rêveries… Inaccessible et pourtant si proche, elle peuple l’imaginaire des hommes pressés de la conquérir, et enflamme le monde depuis la nuit des temps avec son lot de légendes et de mystères.

Dans Les contes de la lune, les enfants sont transportés dans des univers très différents, au gré de récits qui ont tous la lune comme déclencheur de situations insolites : que ses rayons éclairent l’aigle blessé, la princesse désespérée, les souris affamées, le boxeur conquérant, le vieux chat jaloux, l’ourson espiègle ou les deux enfants perdus en forêt, elle les pousse à faire de petites bêtises ou de grandes choses !

Elisabeth Delaigle m'a très gentiment contactée pour me proposer de découvrir Les contes de la lune, un partenariat que je ne pouvais décidément pas refuser au vu de mon amour pour les contes pour enfants et ma fascination de la lune !

Et je n'en peux être que très heureuse : j'ai réellement passé un très bon moment de lecture avec ces sept petits contes très variés ! Je les ai littéralement engloutis.

Je dois dire que j'ai une nette préférence pour le conte intitulé La fileuse de lune : je dois toujours avoir sept ans dans ma tête, mais le coup de la princesse super jolie qui doit trouver son prince charmant pour être délivrée de l'enchantement de la (pas si) méchante (que ça) sorcière m'a énormément plus (ou sinon c'est a cause des cheveux longs !).

Mayak le petit ourson de Pêcheur de lune m'a vraiment amadouée tout comme les souris de Les croqueuses de lune : ce sont totalement le genre de personnage que l'on a envie de protéger.

J'ai aimé l'amitié de Waban et Paco (Le buveur de Lune), la détermination de Ben (Le boxeur de lune) et le courage de Pierre et Paul (Les chasseurs de Lune). On peut s'identifier à chacun de ces personnages et il y en a vraiment pour tous les goûts. Je crois que chaque enfant pourra trouve ce qu'il cherche dans Les contes de la lune.

J'ai tout de même un petit bémol : certaines tournures de phrases d'Elisabeth Delaigle m'ont surprise. Comme si il manquait un mot... j'ai trouvé ça assez déstabilisant. Mais bon, c'est suffisamment rare pour que je ne lui en tienne pas rigueur ! Surtout que j'ai trouvé son écriture très agréable et universelle : elle s'adapte parfaitement à des enfants et pourtant, en tant qu'adule, je me suis totalement sentie à ma place entre ses mots.

Entre l'album pour enfant et les premières lectures en solo, Les contes de la lune à de quoi ravir les enfants (et leurs parents !).

Merci beaucoup à Elisabeth Delaigle de m'avoir fait parvenir ses très jolies histoires : je suis absolument ravie d'avoir pu me plonger dans son univers :)

[l'avis de la petite soeur]

Du même auteur :
♦ La fugue de Junior Lapin