Jessica King, détective au sein du département de la police de Toronto, accepte de relever le défi de prendre la tête de la Cellule des Crimes Majeurs. Après tout, elle a bien survécu à 8 années dans la section homicides, à deux mariages et de nombreuses blessures...
J'ai regardé cette première saison un peu par hasard. Il n'y avait rien de mieux à la télé ce soir-là et j'étais assez curieuse de découvrir une nouvelle série. La découverte est plutôt agréable : bien que Jessica King ne soit pas une série totalement addictive, j'ai passé de très bons moments en regardant cette première saison.
La partie policière de la série n'a rien d'inovant ni d'original. Jessica King enquête à propos de meurtre, plus ou moins en suivant les règles qui lui sont imposées. Prenant souvent des risques à nous faire croire que ça va mal finir alors que finalement tout ce termine du mieux possible (mais de justesse). Ce n'est pas surprenant, mais personnellement, je n'en demande pas plus devant une série policière.
Par contre, j'ai beaucoup aimé la partie plus personnelle de l'histoire comme cette histoire autour du poste de Jessica, ces histoires de promotion, ainsi que des problèmes maritaux de la jeune femme et de son envie d'avoir un enfant...
L'autre truc qui me plait beaucoup dans cette série, c'est le nom des épisodes qui reprend le nom des victimes de chaque affaire. Je trouve que ça donne un côté "dossier" (comme ils ont dans la police) et plus d'importance à la victime.
J'ai également beaucoup apprécié le cynisme de Jessica et ses répliques un peu acides qui m'ont assez amusée.
Jessica King est une série agréable.