Le jour de ses onze ans, Harry Potter, un orphelin élevé par un oncle et une tante qui le détestent, voit son existence bouleversée. Un géant vient le chercher pour l'emmener à Poudlard, une école de sorcellerie ! Voler en balai, jeter des sorts, combattre les trolls : Harry se révèle un sorcier doué. Mais quel est le mystère qui l'entoure ?
Et qui est l'effroyable V..., le mage dont personne n'ose prononcer le nom ? Amitié, surprises, dangers, scènes comiques, Harry découvre ses pouvoirs et la vie à Poudlard. Le premier tome des aventures du jeune héros vous ensorcelle aussitôt !
Harry Potter et moi, c'est une longue histoire. En primaire, je l'ai détesté, haï, je trouvais ça bête. Ma mère m'avait emprunter à la bibliothèque de son travail le tome 2 (il n'y avait pas le premier), parce que j'étais dingue des histoires de sorcières et qu'elle en entendait parler partout. La voiture volante ne m'a pas du tout convaincue, je n'ai même pas atteint Poudlard. Mais, deux-trois ans plus tard, ce fut la sortie du film, à l'école on ne parlait que de ça, tout le monde était allé le voir, sauf moi. C'est terrible à 10 ans de ne pas connaitre l'histoire dont tout le monde parle ! Du coup, mon père m'y a emmenée - lui avait beaucoup aimé le livre que Maman avait emprunté, je le soupçonne même d'avoir été lire les autres - et j'ai adoré. Le soir, j'avais lu les 4 tomes. (J'ai toujours lu très, très vite.)
Harry Potter à l'école des Sorciers c'est avant tout une belle leçon d'amitié et de courage. Le genre de chose qu'on ne voit que dans les films et dans les livres, sans vraiment que ce soit possible, bien que crédible. Personnellement, ça m'étonnerait beaucoup que la plupart des gens devant la pierre philosophale soient totalement désintéressée. Perso', il me semble que dans ce cas là, on envisage, une demi-seconde même, à quel point vivre un peu plus vieux ou avoir plus d'argent (et donc de nouvelles paires de chaussures) pourrait être sympa... Mais c'est aussi ça, Harry Potter : c'est le bien en chair et en os. Sans être niais ou quoique ce soit dans le même genre, quand on lit Harry Potter, on a envie de lui ressembler, d'être aussi gentil, courageux et fort. (et surtout avoir nous aussi une baguette magique.)
Mais surtout, ce qu'il ne faut pas oublié, c'est qu'avec son héro, J.K. Roling à réussi à faire lire les enfants. Même, mon vieil ami M., qui détestait lire, avait beaucoup de mal à lire les livres que la maitresse nous faisait lire, s'est balader pendant des mois avec les Harry Potter sous les bras. Cela dit, je ne suis pas certaine que 10 ans plus tard, il ai lu un autre livre. Mais ce que je sais, c'est qu'il n'est pas un cas isolé. J.K. Rowling est remerciée par des tonnes de parents, et ça, ça n'a rien d'étonnant.
Bref, j'aime Harry Potter. Je l'ai envié, aimé, j'ai voulu lui ressembler, être son amie. J'ai détesté Rusard et Rogue et eu pitié des Dursley. J'ai vénéré Dumbledore et adoré McGonagall. J'ai ri avec Hagrid et tremblé avec Hermione et Ron.
Essayez, vous verrez !